• En cette période de crise économique, je souhaite attirer l'attention sur deux phénomènes dangereux, conséquence d'un marasme économique....
    Tout d'abord, je vous fais part de la définition (en économie) de ce qu'est un Trust....et vous laisse réflêchir à ce qui se passe actuellement avec les fusions en grand nombre, parfois impulsées et/ou défendues par certains gouvernements libéraux!!!!
    Le TRUST

    Un trust est une grande entreprise qui possède des positions fortes, voire dominantes, sur plusieurs marchés proches, au sein d'un secteur industriel. Le Droit de la concurrence lutte contre les trusts qui pourraient se rendre coupable d'abus de position dominante.

    Définition

    Les trusts ont joué un rôle économique important dans les sociétés capitalistes du XIXe siècle. Un trust est une grande entreprise qui a racheté d'autres plus petites entreprises afin de limiter la concurrence et gagner de l'ampleur au sein du marché. Les exemples sont nombreux : John Davison Rockefeller avec le pétrole ou Andrew Carnegie avec l'acier. Le banquier John Pierpont Morgan n'aimait pas non plus le "désordre" de la concurrence naturelle. Il s'appliqua à former d'énormes trusts, United Steel, American Tobacco, General Electric, dont le contrôle était le plus souvent très centralisé.

    Le trust est différent du cartel, où plusieurs petites entreprises s'associent afin de gagner du pouvoir de marché, de manière à générer plus de profit.

    Il existe deux types de concentration aboutissant à un trust :

    De façon générale, on assiste surtout au phénomène de concentration dans des périodes dites de dépression (voir Cycle Kondratieff), où des entreprises, fragilisées ou en faillite, se font plus facilement racheter.

    (source: Wikipédia.fr)

    Principe du trust

    Le plus gros producteur dicte sa loi aux autres membres de l'industrie et règne sur les maillons fractionnées situés en amont et en aval de la chaîne. Si l'un d'entre eux résiste, le volume de ses affaires diminue rapidement jusqu'à l'évincer totalement du marché afin qu'il se fasse racheter pour une bouchée de pain par celui-là même qui l'avait conduit à la perte.

    Ensuite, je tiens à vous faire part d'une situation préoccupante:

    Avec cette crise financière sans précédent la majorité des pays "riches", la plupart de grandes multinationales ont décidé de réduire ou de retirer complétement leurs investissements ou leurs activités des pays en voie de développement tant au Sud (Afrique et Asie) qu'en Europe centrale...

    Ce qui provoque dans ces pays là, un climat de tension sociale et politique sans précédent!

    Ce comportement de la part des grands décideurs occidentaux favorise et accroit un peu plus le fossé entre les pays "riches" et les autres peuples de la planète!!!

    Je vous rapelle qu'au regard de l'économie mondiale 30% de la population globale de notre planète détient plus de 70% des richesses....

    Ce fossé entre le Nord et le Sud semble ressembler de plus en plus à une faille gigantesque avec forcèment une volonté croissante de ces gens pour tenter leur chance d'accèder aux pays "riches" par tous les moyens légaux ou illégaux!

    Mais le plus grave, est sans nul doute les guerres qui risquent d'éclater en raison de cette situation économique désastreuse en Afrique et dans de nombreux autres pays en difficulté!

    Car dans ce système libéral de mondialisation, une grande part de l'humanité est exclue d'office de ce modèle économique!

    D'ailleurs sur le marché des matières premières (seuls biens que possède les pays en voie de développement), ce sont les acheteurs (les pays riches) qui fixent les règlent et les prix!!! En  négociant très souvent à leur avantage des aides en contrepartie de conditions très préférentielles d'exploitation de ces matières premières!

    Alors, je pense qu'il serait temps de repenser à un mode de fonctionnement différent de l'économie mondiale. Il faudrait profiter de cette crise pour revoir les règles, et pour ériger des principes plus équitables!

    Jean François LOUBET

     


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  • Aujourd"hui de nombreux secteurs sont touchés par une crise sociale conséquence de cette Crise.
    Cette dernière servant de justificatif aux entreprises et aux politiques pour expliquer et assoir leurs funestes choix!!!
    Au pays de Saint Nicolas, et non de Walt Disney, on subit les conséquences de la crise de plein fouet!
    Je ne souhaite pas dénigrer les réformes structurelles de notre Président de La République, mais je m'interroge sur le maintien de certaines réformes  dans certains secteurs alors que cette Crise fragilise et freine leur activité!
    Je ne comprends pas pourquoi s'obstiner à réformer là où cela n'est pas essentiel et primordial surtout en période de crise!
    Pour faire simplement mousser et épater la galerie?!!!!
    Là où l'incohérence porte à son comble c'est dans les secteurs où de très bonnes réformes auraient pu être faîtes,
    mais les Ministres et les haut représentants de l'Etat s'évertuent à détruire tout dialogue!
    Alors mes chers et tendres représentant de notre république, je vous invite à lire le document qui suit!
    Consensus

    Un consensus est un accord général (tacite ou manifeste) parmi les membres d'un groupe, pouvant permettre de prendre une décision sans vote préalable. Bien que le consensus désigne un accord unanime (ou plutôt, l'absence d'opposition), l'usage récent en fait parfois l'opinion ou le sentiment d'une forte majorité. Le consensus comme méthodologie de prise de décision cherche à mettre l'accent sur la validité de l'opinion de chaque participant et se refuse à entériner un choix qui n'aurait pas au moins l'accord de tous.

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    Étymologie

    Consensus est un mot latin qui signifie « accord », « conformité de sentiments ». Il a été lexicalisé dans la langue française au XIXe siècle sous le sens de « large accord » [1]. Le mot latin dissensus, bien qu'il ne soit pas lexicalisé en français (il n'apparaît pas dans les dictionnaires) est parfois utilisé pour désigner soit l'échec d'une recherche de consensus, soit l'attitude qui consiste à vouloir opposer les différentes opinions sans chercher à les rapprocher.

    Du fait du changement de sens récent qui fait du consensus une « simple » large majorité, on en vient à parler de « consensus absolu » ou de « consensus parfait » pour désigner un accord qui ne recueille aucune opposition.

    Par ailleurs, la prononciation de la deuxième syllabe est couramment fautive. Selon l’Académie, on doit dire [kɔ̃sɛ̃sys][1] et non [kɔ̃sɑ̃sys].

    Consensus et pensées collectives

    De nos jours, on confond souvent consensus et « choix collectif ». Il existe des degrés de variation toujours possibles entre individus, et il doit y avoir une implication individuelle forte pour faire suivre la prise de décision de l'action. Auquel cas, la prise de décision nécessite une négociation au bout de laquelle les autres participants au débat seront satisfaits.

    L'opinion collective n'est pas un consensus, mais une opinion reçue, un alignement sur une orthodoxie - éventuellement à partir d'une manipulation mentale ou de la propagande. Des études[réf. nécessaire] sur les effets de groupes et des foules affirment l'existence des consensus émotionnels pouvant aller jusqu'à l'hystérie collective.

    Il existe plusieurs débats et recherches à la fois sur les notions d'intelligence collective et de prise de décision par consensus - discutés dans d'autres articles. Cet article traite de l'idée de consensus dans son sens le plus strict, et non pas de ses implications en politique ou en économie (domaines dans lesquels non seulement le consensus importe mais également l'action subséquente).

    Consensus et dictature de la majorité

    Le terme consensus implique également des notions de compromis. Plutôt qu'une opinion adoptée par une majorité, le consensus suggère l'apport de multiples opinions différentes, et leur adaptation progressive jusqu'à ce qu'une solution satisfaisant le plus grand nombre de personnes puisse être dégagée. Le consensus ne signifie pas forcément que tout le monde est satisfait du résultat, mais suggère plutôt que tout le monde peut juger le résultat acceptable et que la majorité est satisfaite. On doit donc apporter un soin particulier à la définition de cette majorité représentative de l'ensemble, faute de quoi ce compromis peut s'éloigner de la réalité pourvu que le consensus se construise, au vu de la subjectivité de l'estimation de la « représentativité » de chaque personne. Ce type de consensus, limant les divergences au profit des similitudes, manifeste la justesse de l'opinion répandue. On peut considérer que le consensus se construit avec la loi de juste milieu (pris dans le sens d'un milieu acceptable pour les différentes parties). Certains considèrent alors que l'objectivité, si ce n'est la vérité, répond à la courbe de Gauss où les 20% restant sont quantité négligeable et, de ce fait, inutiles à conserver. Ce type de solution est souvent appelé consensus, mais n'en est pas un à proprement parler.

    Plus généralement, on considère la prise de décision par consensus comme la recherche d'une solution de résolution, où le compromis doit être une proposition originale, qui tienne compte des positions de chacun et essaye de satisfaire tous les participants au débat. Ce type de compromis est nommé gagnant-gagnant. Chaque proposition doit être évaluée pour ce qu'elle est et non pour ce que chacun en imagine, l'imagination portant le plus généralement sur l'émetteur de la proposition.

    Certains considèrent que dans le cas où un compromis gagnant-gagnant ne peut être construit, on peut alors enregistrer les dissensions (ou dissensus) car elles sont considérés comme plus proches de la réalité décrite et susceptibles de faire avancer le problème. Cette solution peut satisfaire la majorité des participants au débat. D'autres considèrent qu'il s'agit alors d'un échec de consensus, car chacune des parties étant restée sur ses positions, le problème débattu n'est pas réellement réglé. Ceci dit, la recherche du consensus permet d'éviter que la majorité impose ses décisions à la minorité, puisque le véto permet à chacun de refuser une solution qui ne lui convient vraiment pas (à condition de ne pas en abuser, auquel cas c'est une autre forme de dictature de l'individu sur le collectif).

    Prise de décision par consensus

    Il y a de nombreuses façons, pour un groupe, de prendre des décisions. La plupart d'entre nous ont été élevés dans une culture qui considère que la démocratie occidentale est la meilleure, et que le vote dans le but de nommer ceux qui vont gouverner (élections)[2] est le seul pouvoir qui peut servir aux gens. Il apparaît[réf. nécessaire] pourtant une grande désillusion quant aux potentiels de ce système pour une collégialité dans la prise de décision, et encore plus, à une plus grande échelle, pour changer quoi que ce soit dans le système. La démocratie devient le système qui permet soit d'élire un gouvernement, soit un exécutif ou comité de pilotage, qui prend toutes les décisions, et déçoit trop souvent.

    Habituellement, lors d'un vote démocratique, à n'importe quelle échelle, une minorité importante est mécontente du résultat. Et même si cette minorité accepte la décision prise, parce qu'elle accepte la « règle du jeu », elle résistera activement ou essayera d'atténuer les conséquences de cette décision jusqu'au prochain scrutin.

    Le compromis est une autre méthode pour prendre une décision, habituellement par la négociation. Deux parties, ou plus, annoncent leur position respective et la changent petit à petit, par des concessions mesurées. La négociation peut conduire à une insatisfaction des deux parties, car personne n'est totalement satisfait.

    À côté de ça, le consensus est un moyen de prendre une décision qui fait appel à la créativité de chacun. C'est un processus dans lequel aucune décision ne peut être prise tant que tous les participants ne l'acceptent. Ça peut être long à mettre en place, car le consensus est le produit patient de toutes les meilleures idées et volontés dans un groupe, dans un esprit de cohésion et d'équilibre. Les minorités sont entendues au cours du processus, et pas seulement à la fin : la décision est élaborée collectivement.

    Exemple de processus

    Il y a de nombreuses façons pour trouver un consensus, mais nous vous proposons cette procédure simplifiée, pour comprendre les mécanismes.

    1. Le problème, ou la décision à prendre, est défini et nommé. Cette étape préliminaire aide à séparer la problématique à traiter des enjeux personnels.
    2. Faire fuser toutes les solutions possibles (brainstorming) pour résoudre le problème ou répondre à la question. Les écrire toutes, même les plus folles.
    3. Se réserver un moment dans le processus pour les questions diverses et la clarification de la situation.
    4. Discuter et débattre des propositions écrites, les modifier, les regrouper, et en faire une liste, la plus courte possible. Lesquelles sont les préférées du groupe ?
    5. Bien expliquer toutes les propositions, et leurs différences pour que tout le monde comprenne bien (on peut utiliser là l'ancienne méthode qui consiste à donner un temps égal à quelqu'un qui est pour et quelqu'un qui est contre la proposition pour s'exprimer).
    6. Discuter les « pour » et les « contre » de chaque proposition. Faire en sorte que chacun puisse s'exprimer (tour de table, petits groupes, …).
    7. S'il y a une opposition majeure, recommencer au point 6. Il est parfois nécessaire de recommencer au point 4.
    8. S'il n'y a pas d'opposition majeure, faire état de la décision et voir s'il peut y avoir un accord.
    9. Reconnaître les objections mineures et incorporer des petits amendements.
    10. Discuter de la proposition, et vérifier le consensus.

    Le droit de veto

    Le droit de veto, détenu par chacun sur une proposition du reste du groupe, est la pierre angulaire de la méthode du consensus. La « permission » de chaque membre du groupe est indispensable pour prendre une décision, c'est pourquoi écouter et répondre à tous les participants et prendre en compte tous les avis devient la préoccupation du groupe dans son ensemble.

    Ce qui fait que le résultat n'est pas seulement un groupe plus égalitaire, mais aussi un groupe plus « satisfait », dans lequel chaque membre a une chance de se sentir important au sein du groupe. Les responsabilités sont mieux partagées, les membres sont plus réceptifs aux autres, et l'envie de faire des choses ensemble est partagée. Le veto sur une proposition qui a demandé de longues discussions et une synthèse ardue est un acte sérieux. Il peut être fait en ayant bien pesé le pour et le contre, comme un ultime recours, sur des bases éthiques, ou à cause des conséquences qu'une décision peut avoir. Il peut aussi être fait à cause d'une émotion forte (peur, dégoût), mais en aucun cas à cause de préférences personnelles ou d'impulsions égocentriques.

    Quand la prise de décision a fait son chemin, prenant en compte des opinions diverses, se modifiant, et que quelqu'un est toujours en désaccord avec la solution trouvée, il y a d'autres formes que le veto à envisager, qui ne contrent pas le processus. Par exemple, ne pas soutenir une décision : « Je ne ressens pas le besoin de ça, mais je peux quand même participer ». Ou encore rester réservé : « Je pense que ça peut être une erreur, mais je peux l'assumer ». Ou ne pas s'impliquer : « Je ne participerais pas, mais je n'empêcherais pas les autres de le faire ».

    Dans certaines descriptions du processus de prise de décision par consensus, la notion existe que quelqu'un qui sent le besoin de faire un veto sur une proposition devrait envisager de se retirer du groupe, au moins pour un temps. Or, cette idée tend à l'inverse extrême du but de la méthode : plutôt que d'encourager l'inclusion des opinions et des souhaits de tous, ceux et celles qui ont une opinion minoritaires risquent de se sentir obligés de s'exclure du groupe. L'éventualité d'une exclusion du groupe est, pour certains, un mécanisme tout à fait opposé au principe d'inclusivité de la méthode de consensus, tendant à exclure ceux et celles qui sont non conformistes, plutôt que d'encourager les critiques envers l'opinion majoritaire.

    Les prises de décision de nombreuses communautés virtuelles suivent souvent ce type d'approche.

     

     

     

     


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  • Aujourd'hui, les médias nous aprennent le palmarés des entreprises, des grandes enseignes ou des marques qui ont réussi à dégager des bénéfices...malgrè cette fameuse crise qui depuis le dernier semestre 2008 mine l'économie mondiale.

    Souvenez vous qu'hier, la majorité des Etats ont largement puisé dans les fonds publics (c'est à dire l'argent de tous) pour renflouer le système bancaire, en promettant au Citoyens du Monde entier que les Etats allaient modifier les règles du jeu, et empêcher les spéculateurs d'agir et éviter que ne se reproduise une telle crise financière!

    Hors aujourd'hui, après nous avoir annoncé chaque jour en Janvier 2009, des fermetures d'entreprises, des licenciements par milliers dans de très nombreuses enseignes et grandes marques, les journalistes nous disent que certaines de ces grandes marques se targuent de dégager des bénéfices!!!!

    Ces mêmes bénéfices qui seront bien évidemment redistribués aux actionnaires...Alors qu'on aurait pu penser qu'après les belles déclarations de nombreux chefs d'Etat et de nombreux avantages offerts aux grandes firmes, ces dernières auraient choisi de limiter les bénéfices pour maintenir le plus d'emplois possible, et par conséquent garantir un niveau de consommation vitale pour de nombreuses PME et petits commerces...

    Mais elles ont  choisi, pour certaines, de détruire des emplois avec toutes les conséquences que cela comportent...C'est à dire des familles brisées, des gens parfois à la rue avec le besoin de demander l'aide de l'Etat....(lorsqu'ils ont encore le droit à des aides sociales)

    Simplement pour satisfaire encore et toujours, ces mêmes actionnaires, qui désormais jouent en bourse avec notre argent, ...celui versé par les Etats en fin d'année 2008!!!!!

    Lorsque je ferme mon poste de télévision, je me dis que je dois surement halluciner....

     

    Jean François LOUBET

     

     

     


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  • Mes années collèges

     

    Nous sommes au début des années 80, et en 1981, lors de l’élection de Monsieur MITERRAND, j’entre en 6ème !!!

     

    Je garde une très bon souvenir de ces années là, car j’ai rencontré de nombreuses personnes qui ont beaucoup compté pour moi, tant au niveau des adultes que j’ai pu croiser que des élèves avec qui j’ai partagé mon temps…Certains sont toujours aujourd’hui restés des amis…

     

    J’ai rencontré des enseignants extraordinaires, des hommes et des femmes qui se sentaient investis d’une mission auprès des adultes en devenir que représentaient tous ces enfants !

    Je me souviens de nom encore de professeur qui m’ont beaucoup appris et dont je garde un excellent souvenir comme M. BARDIN, M. REVEILLON (dit « nain vert »), Madame FEBRARO, Monsieur et Madame DUROCHER, etc.…

     

    Durant ces années au collège, je découvrais mes premiers amours, mes premières déceptions mais aussi mes premiers baisers…

    Ces jeunes années furent insouciantes et enrichissantes, de part les expériences vécues.

     

    Je me souviens surtout une agréable ambiance où professeurs et élèves en arrivaient parfois à plaisanter, se faire des blagues en dehors de cours…Il n’y avait pas ou très peu d’agressivité et de violence !

     

    Durant ces années là, je commençais aussi à m’intéresser de plus en plus au monde environnant au-delà des frontières. Je restais surpris de découvrir la misère dans certains pays alors que je grandissais dans une société de consommation à outrance !!

    C’est à cette période j’ai commencé à vouloir m’engager, à vouloir agir mais à 13 ou 14 ans, comment faire ?

     

    C’est à ce moment là que j’ai décidé de prendre ma plume pour écrire et coucher sur le papier mes ressentis et mes interrogations, ou mes poèmes. J’ai également commencé à m’intéresser aux activités de mes parents très engagés dans la vie locale à La Garde.

     

    Grâce à eux j’ai pu ainsi rencontrer des hommes et des femmes extraordinaires, des militants, des élus engagés dans un projet, dans la gestion d’une ville (comme M. PARLANTI, M. BLASCO, M. VINCENSINI, M. PEYRONNET…)…autour d’un homme remarquable qui m’a beaucoup apporté et appris : Maurice DELPLACE, Maire de La Garde.

     

    En fait, je connaissais ce vieux sage depuis longtemps car je connaissais et fréquentais à l’époque de l’école primaire son petit-fils Nicolas CHABOT, mais je le connaissais comme Grand-père et non comme Maire.

     

    Le souvenirs de ces années évoque pour moi des années d’éveil et d’ouverture d’esprit sur un monde plus large et plus grand autour de moi, la prise de conscience du Monde dans sa diversité…avec une attirance pour mieux comprendre et connaître l’autre, celui qui est différent…

     

    A suivre....


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  • Une heure avant l'intervention du chef de l'Etat français, et bien avant d'entendre notre Saint Nicolas national, je me décide à rediger quelques pensées à propos de la situation actuelle dans notre pays.

    Notre Président a été élu sur un programme de réformes profondes du pays, et de son fonctionnement. Le but que s'est fixé M. SARKOSY et son équipe est de moderniser à tout prix l'ensemble du pays et de ses infrastructures.

    Il y a quelques mois j'avais mis en garde notre chef de l'Etat sur la trop grande rapidité d'élaboration et applications de nombreuses réformes, car trop souvent la phase de concertation et de dialogue avec les principaux concernés ne se faisait pas ou était complétement baclée! Au lieu de réamorcer un dialogue, nos dirigeants ont préféré parfois imposer les réformes en omettant parfois de les expliquer au grand public.

    Mais au cours du deuxième semestre 2008, une crise économique mondiale venait d'éclater. Dans tous les pays du monde, les Président et les Gouvernements ont choisi de modifier leur politique nationale pour s'adapter à une économie moribonde...

    Même certains états qui sont politiquement proches de la famille politique de notre petit Nicolas, ont accepté de suspendre certains projets en raison des incertitudes sur les conséquences, que va avoir cette crise!

    En France, Saint Nicolas plus fort que les autres a choisi de maintenir le rythme des réformes, engageant parfois des réformes inutiles par temps de crise puisque elles engagent des dépenses supplémentaires de l'Etat. Même certains critères d'allocation d'aides sociales ont été modifiés afin de réduire le nombre de bénéficiaires, alors que dans le même temps, chaque jour des entreprises annonçaient le licenciement de nombreux employés!

    Mais ce qui est choquant, c'est de se souvenir que notre Saint Nicolas nous avait promis lors d'une précédente intervention télévisée  que tout le monde devrait faire des efforts durant cette crise!

    Tandis qu'aujourd'hui, on peut noter que les indemnités de nos élus restent toujours aussi élevées! Et on apprend également que bon nombre d'entre eux cumul allègrement les indemnités avec des retraites bien après leur départ de leur fonction, pour en occuper des nouvelles!

    D'autant que ces indemnités sont financées par l'argent public! Et qu'en période de crise si tout le monde doit faire un effort, il serait normal que nos représentants républicains montrent l'exemple, en acceptant un réduction au lieu de les laisser au maximum légal dans la majorité des cas!!!

    Alors que penser de cette situation, lorsque nous avons des familles qui péniblement essaient de survivre avec parfois moins de 1000 € par mois, écoutant les discours de notre Président alors que d'un autre côté certains de nos élus gagnent par mois le triple ou le quadruple sous forme d'indemnités (sans parler de ceux qui poursuivent une activité professionnelle)!

    Ce soir, que va pouvoir nous dire Nicolas SARKOSY?

    Aurait-il trouver la solution miracle ou découvert le secret de La Pierre Philosophale?

    Sincèrement je pense que notre Président va encore nous parler de cette crise,qui est la cause de tout mais qui aussi permet de tout justifier....

    Jean François LOUBET

     

     

     


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