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    Longtemps les plus beaux yeux bleus de Hollywood et l'un des derniers monstres du cinéma américain, Paul Newman est né le 26 janvier 1928, à Cleveland dans l'Ohio. Sa vie « active » ne commence pas sur les plateaux de cinéma mais dans le Pacifique, sous l'uniforme, pendant la seconde guerre mondiale, face aux Japonais. Après les hostilités, Paul Newman, intègre l'Actors studio. Son premiers succès, il le remporte sur les planches, à Broadway, avec la pièce Picnic. Nous sommes en 1953.


    Le calice d'argent est son premier film. Il s'y trouve mauvais et le fait savoir à son public par le biais d'une page de publicité dans la presse ! Son premier vrai succès au cinéma, il le rencontre deux ans plus tard en interprétant le boxeur Rocky Graziano dans Marqué par la haine, de Robert Wise. L'une des originalités de Paul Newman, dans ce monde inconstant du spectacle, est d'avoir été marié à la même femme, Joanne Woodward, pendant plus de quarante ans. Ils se sont rencontrés sur le tournage de Les feux de l'été. Ils se retrouveront encore devant les caméras et se donneront la réplique dans La toile d'araignée, de Stuart Rosenberg, en 1962. Mais c'est en jouant dans le film de Richard Brooks, La chatte sur un toit brûlant, avec Liz Taylor, que Paul Newman accède au statut de sexe symbole et de star internationale.


    Paul Newman ne tarde pas à se lancer dans la mise en scène et réalise Rachel Rachel, en 1968, puis Le clan des irréductibles, en 1970 ainsi que le très remarqué De l'influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites, en 1972. Les « années Newman », sont loin d'être terminées. Il enchaîne les succès, dont certains vont devenir des classiques : Luke la main froide, Butch Cassidy et Le Kid ou encore L'arnaque.


    Parallèlement, Newman, se découvre une passion pour la course automobile à l'occasion du tournage de Winning (Virages, en français) dans lequel il joue le rôle d'un pilote aux 500 miles d'Indianapolis. Il parviendra même à décrocher la deuxième place aux 24 heures du Mans, en 1979, au volant d'une Porsche 935 avec comme coéquipiers, Rolf Stommelen et Dick Barbour. Il finira par créer sa propre écurie, la « Newman/Haas racing », à laquelle collaboreront des pilotes renommés tels que Nigel Mansell ou Mario Andretti. En 2005, à plus de 80 ans, il reprendra même le volant lors des 24 heures de Daytona, en compagnie de ses pilotes, le Français Sébastien Bourdais et Bruno Joqueira.
    A partir des années 1980, Paul Newman tourne beaucoup moins. Il rafle malgré tout l'Oscar du meilleur acteur en 1986 (après huit nominations infructueuses !) pour son rôle dans La couleur de l'argent, de Martin Scorsese. On l'a revu dernièrement aux côtés de Tom Hanks dans Les sentiers de la perdition, en 2002. Il a annoncé la fin de sa carrière au cinéma, en mai 2007.

     


    Homme de cinéma,  certainement, mais homme de coeur aussi : Paul Newman a fait des dons à hauteur de 120 millions de dollars en 2005 et 2006 à diverses associations grâce à sa fondation, la Newman's Own Foundation Inc. En Novembre 2007, Paul Newman a subi une très lourde opération, dans un secret absolu, après que ses medecins lui aient diagnostiqué un cancer, dont la nature n'a pas été précisée. Personnage engagé politiquement et important dans le mouvement pour les droits civiques, Paul Newman a aussi activement milité durant la guerre froide pour le contrôle des armements. Il a d'ailleurs rapidement figuré en bonne place sur la "liste noire" de Richard Nixon, l'ex président républicain des Etats-Unis. "Me retrouver sur la liste des ennemis du président Nixon fut le plus grand honneur de ma vie. Qui sait qui me met sur écoute et sur la liste de quel gouvernement je figure à présent ?", a-t-il commenté. Marqué par la décès de son fils par overdose, Paul Newman a participé à de nombreuses activités caritatives contre la drogue, et créé en 1982 une ligne de produits culinaires (sauces, pop-corn) à son effigie. Les bénéfices étaient reversés à des organisations éducatives ou sanitaires qui prennent en charge des enfants cancéreux ou atteints de maladies du sang.

    Sur la mort:

    "J'imagine mon épitaphe: 'ci-gît Paul Newman, mort en raté car ses yeux sont devenus marron'".

    Sur le mariage:

    "Les gens restent mariés ensemble parce qu'ils le veulent bien, pas parce que les portes sont fermées".

    "Je n'interroge jamais ma femme au sujet de mes défauts. J'essaie de faire en sorte qu'elle les ignore et qu'elle s'occupe plutôt de mon sens de l'humour. Ne laissez pas une femme soulever le tapis, Messieurs, car c'est bourré de défauts en dessous".

    Sur l'adultère:

    "Pourquoi s'amuser avec un hamburger quand il y a du steak à la maison ?"

    Sur le poker:

    "Si vous êtes en train de jouer au poker et que vous regardez autour de la table sans pouvoir déterminer qui est en train de se faire avoir, c'est que c'est vous".

    Sur la politique:

    "Me retrouver sur la liste des ennemis du président Nixon fut le plus grand honneur de ma vie. Qui sait qui me met sur écoute et sur la liste de quel gouvernement je figure à présent?"

    Sur les homosexuels:

    "Depuis tout petit, je n'ai jamais pu comprendre les attaques envers la communauté homosexuelle. Les être humains ont tant de qualités. Quand j'ai fini de faire le tour de tout ce que j'admire vraiment chez une personne, ce qu'elle peut faire avec ses parties intimes arrive tellement bas dans la liste que ça devient insignifiant".

    Sur son Oscar:

    "C'est comme avoir fait la cour à une belle femme pendant 80 ans. Elle finit par céder et l'on dit: 'je suis vraiment désolé, mais je suis fatigué'".

    Sur la retraite:

    "On commence par perdre la mémoire, puis on perd confiance en soi et on perd l'imagination. Je pense que pour moi, le livre s'est plus ou moins refermé".

     
     

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    Mon ami, le cheval...

     

    Depuis de très nombreuses années, je suis fasciné par cet animal

    Chaque rencontre avec lui, est un dialogue et un échange cordial.

    Car je le respecte, et je le considère comme un véritable ami,

    Et non, comme une vulgaire bête de somme, ou de noble compagnie,

     

    J’admire son regard, sa robe, et la couleur de son pelage,

    Je regarde sa course, et sa stature sur les verts pâturages.

    Son museau, sa tête posée, se frottant tout contre moi

    Me réchauffe, m’emplit de joie, et j’aime le sentir contre moi

     

    Je passe de long moment avec toi, au milieu de tes frères, du moment,

    Je te regarde, aimer et jouer avec tes semblables affectueusement.

    Les enfants de ton clan que tu protèges,  font partie de ta vie,

    C’est pour eux que tu cherches, avec attention,les meilleures prairies.

     

    Je parle de la plus belle conquête de l’homme dans le règne animal,

    Sauf que je parle plutôt de rencontre, et d’échange, et pas de domination.

    Le cheval est un animal si intelligent, qu’il ressent la moindre émotion,

    Je le considère comme un ami, comme un compagnon.il est mon égal.

     

    C’est sans doute pour cela, que bien souvent, je suis  autorisé à partager,

    Ces moments de semi-liberté, que l’homme lui offre, dans ma verte vallée.

    Là, tu redécouvres la vraie nature, avec ses vastes contrés, encore sauvage,

    Le long des crêtes, tu peux galoper, et admirer ces immenses paysages.

     

    Ton regard pétillant de joie, tu t’approches vers moi, doucement, sans hennir,

    Avec ton souffle, tu réchauffes mon corps mais surtout mon cœur,

    Tu sais  pourtant, qu’à un certain moment, je devrais te quitter et partir,

    Cela ne te dérange pas de t’approcher, et de montrer ton bonheur.

     

    Lorsqu’arrive, le moment tant redouté, tu n’as plus envie d’arrêter,

    Mais Je n’aime pas, aussi, ce moment inévitable de t’abandonner,

    Mais le souvenir de t’avoir rencontré, dans la montagne, en pleine liberté,

    Me permet chaque année, chaque été, de mieux pouvoir te retrouver.

     

    Jean François LOUBET


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  • NORD et SUD<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Dans le texte qui va suivre, je ne vous parlerai pas de la guerre civile américaine qui a opposé les états du sud aux états du nord.<o:p></o:p>

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    Je ne vous parlerai pas non plus de la chanson de Pierre Bachelet sur le pays des mineurs, ni de la chanson de Nino Ferrer sur le Sud !<o:p></o:p>

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    Mais je vais plutôt attirer votre attention sur l’hypocrite relation qui existe entre les pays riches de l’hémisphère Nord avec leurs anciennes colonies du Sud.<o:p></o:p>

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    Jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, les états européens comme <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName>, l’Angleterre, l’Allemagne se trouvaient à la tête d’empires coloniaux immenses s’étendant sur le continent africain, et bien au-delà parfois.<o:p></o:p>

    Ces puissances occidentales exploitaient dans ces différentes parties du monde les richesses de ces pays, s’appropriant les matières premières et les matières énergétiques.<o:p></o:p>

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    En contre partie, dans ces régions du monde, les Etats occidentaux ont construit des infrastructures comme des routes, des voies de chemin de fer mais sans véritablement investir et permettre aux peuples de ces contrées de s’émanciper et se développer. Puisque pendant longtemps, ils n’avaient que la seule possibilité de travailler et d’être au service des « blancs » présents sur leurs terres. <o:p></o:p>

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    Durant la seconde guerre mondiale (mais aussi durant la première), de très nombreux hommes ont été enrôlés dans les armées coloniales pour aller lutter en Europe contre le régime Nazi. D’ailleurs beaucoup d’entre eux y ont laissé leur vie et ne sont jamais retournés dans leur village d’Afrique.<o:p></o:p>

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    A la fin de cette guerre, ces peuples si longtemps privés de liberté et de droits civiques ont commencé à s’interroger sur leur avenir et à vouloir décider de leur futur. C’est au cours de cette période d’après guerre que naissent en Afrique les différents courants indépendantistes. <o:p></o:p>

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    Pour accéder à cette liberté, il y a eu parfois des conflits ouvert avec les Etats coloniaux mais dans certains cas cette indépendance s’est déroulée plus pacifiquement. C’est ainsi que les Etats Occidentaux ont perdu peu à peu leur principale ressource sauf que ces derniers ont réussi à garantir l’accès et l’exploitation de bien des richesses !<o:p></o:p>

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    En effet, la majorité des pays d’Afrique ont acquis l’indépendance, avec plus ou moins de difficultés, mais ils ont accepté de laisser les Etats occidentaux exploités les richesses pensant et croyant que les bénéfices dégagés seraient réinvestis dans leur pays pour favoriser le développement de leurs Etats.<o:p></o:p>

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    Hors, ces peuples qui venaient d’obtenir l’indépendance sur le plan politique restaient toutefois très dépendants économiquement de leurs anciens colonisateurs. Les pseudo-projets de coopération ne servaient en fait qu’à masquer une politique d’exploitation des richesses, en fermant bien souvent les yeux sur le maintient au pouvoir de régimes dictatoriaux fort complaisants.<o:p></o:p>

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    Les grandes firmes autorisés à travailler dans certains pays africains, n’hésitaient pas à financer et à arroser largement les dirigeants de ces pseudo-démocraties pour garantir leurs intérêts économiques et financiers dans ces régions !<o:p></o:p>

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    Car objectivement, si les pays du nord avaient réellement œuvré en faveur du développement de ces pays d’Afrique, comment expliquer que les populations ont encore récemment montré leur rejet face à la présence de ces firmes qui n’investissement pas dans leur pays, et n’offrent même pas d’emploi à ces populations ! D’autant que bien souvent les Etats du Nord ont fort mal conseillé les dirigeants dans ces pays, ce qui a entrainé bien souvent des crises économiques graves favorisant le surendettement de ces mêmes Etats africains !<o:p></o:p>

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    Alors, ce qui n’était encore, il y a une vingtaine d’années, qu’un fossé entre le Nord et le Sud, est aujourd’hui devenu une énorme faille profonde et très large.<o:p></o:p>

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    Dans beaucoup de ces Etats d’Afrique, la confiance envers les Etats du Nord s’est transformée en méfiance et en suspicion. Les peuples ne croient plus dans les projets des Etats riches, et ils préfèrent parfois travailler avec des O.N.G plutôt qu’avec des organismes gouvernementaux européens, par exemple !<o:p></o:p>

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    Depuis ces dernières années, les « boat-people » entre le continent africain et l’Europe se multiplient. Les hommes et les femmes qui se trouvent dans des situations de misères incommensurables, et qui n’ont plus rien à perdre, tentent leur chance vers l’ « El Dorado Européen ».<o:p></o:p>

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    Alors ce n’est pas en érigeant des kilomètres de fil barbelés, ni en construisant des miradors le long de la frontière européenne que nous pourront arrêter ces populations qui n’aspirent qu’à vivre dans des conditions dignes et humaines.<o:p></o:p>

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    Si nous voulons résorber, la question de l’émigration clandestine, il faut véritablement, nous poser la question du développement de ces pays d’Afrique !<o:p></o:p>

    Il faudra bien qu’enfin les Etats du Nord se décident à mener une vrai politique de coopération, d’aide au développement dans cette région du monde !<o:p></o:p>

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    Car plus nous laisserons grandir cette faille entre le Nord et le Sud, et plus nous risquons d’aboutir à un conflit ouvert entre les peuples riches et les peuples pauvres, car rien ne peut arrêter celui qui a faim et qui a déjà tout perdu !<o:p></o:p>

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    Alors, je lance un appel aux hommes de bonne volonté, aux citoyens du monde, pour influer sur les politiques dans les Etats occidentaux, pour inciter nos dirigeants à enfin mettre en place un vrai politique d’aide et de coopération en direction de ce continent qui est au bord du gouffre et qui s’approche, chaque jour d’avantage, du précipice !<o:p></o:p>

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    Jean François LOUBET<o:p></o:p>

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    2 commentaires
  • Depuis ces derniers jours, tout le monde a les yeux tournés vers le géant Américain touché par une crise financière sans précédent!
     
    Comme jadis des peuples attendaient une réponse des divinités, nous attendons de connaître les solutions que cette puissance trouvera à ce problème!
     
    Aujourd'hui nos dirigeants, nous expliquent déjà que si demain sera dur à vivre, ce sera la répercussion de cette catastrophe financière, et que nous allons tous être touchés...
     
    Ceux qui vont être inquiétés par cette crise sont surtout les puissants qui placent leurs deniers en bourse, et qui ne peuvent ou ne pourront plus sauver leurs dividendes en ouvrant des comptes dans les paradis fiscaux de notre planète!
     
    Mais pour le Citoyen qui se bat pour arriver chaque mois à joindre les deux bouts, à subvenir à sa famille, cela ne changera rien!!! Il ne sera ni plus riche, ni plus pauvre, la galère continuera!
     
    Par ailleurs si autant de politiques européens s'inquiétent de la crise financière américaine, n'est ce pas parce que les investissements et les capitaux sont fortement liés à ce pays en crise?
    Sinon pourquoi s'inquiéter autant, si on investissait dans un pays indépendant comme le notre par exemple?
     
    Ah! Oui, j'oubliais la fameuse théorie de l'effet papillon qui fonctionne surtout dans le domaine des finances lorsqu'apparait une crise!
     
    Car quand des peuples sont touchés par la famine, les épidémies, et les catastrophes naturelles, il n'y a aucun risque pour les indices boursiers, et les réactions sont beaucoup plus lentes et moins durables!
     
    Cette crise est aussi et sans doute le signe avant coureur de la fin de l'ére du libéralisme à tout va, et d'un capitalisme non humain, peut être qu'enfin l'Homme va pouvoir retrouver sa place dans la pyramide des valeurs dans le monde...et redevenir le centre des programmes politiques...et des projets de sociétés...
     
    Je me souviens lorsque j'étais jeune, et que je dialoguais avec un sage Ojibwés lors de mon séjours au Canada, qu'il me disait que notre civilisation basée sur l'artificiel et le paraitre s'autodétruirait toute seule...sans doute n'avait-il pas complétement tort!!!
     
    Jean François LOUBET
     
     

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  • Cher Jean Paul,
     
    Ton succèsseur est en France, en ce moment et il préconise des principes qui font peur!
    Un recul de la religion!
     
    Tu le sais Jean Paul, je ne suis pas un fervent chrétien, je suis un homme d'ouverture et de réfléxion comme tu l'as toujours été! Je cherche à comprendre le monde et ne pas tomber dans les travers de la pratique chrétienne qui a justifié tant de massacres, au nom de croisades!
     
    Ton successeur, Benoit XVI, que tu as si bien connu, ne t'a pas compris ou n'a jamais cherché à te comprendre puisqu'il remet en cause certaines de tes décisons et choix d'ouverture!
     
    Mon ami  Jean Paul, toi qui rêvait d'une nouvelle approche du monde, tout en respectant les valeurs de ton Dieu! Depuis ton départ, beaucoups oublient ton message et personne te défend!
     
    Cher Jean Paul, tu as eu le courage d'être un homme, un homme de Dieu sincère, ouvert sur le Monde et les autres religions, tu as certes parfois fait des erreurs mais est ce vraiment toi qui décidait sur la fin de ta vie? Lorsque tu étais déjà bien malade?
     
    Mon ami Humaniste et Chrétien, proche de Saint Augustin qui a souvent douté mais n'a jamais renié sa foi!
    Aujourd'hui, certaines valeurs du modernisme de la religion sont remis en cause par ton succèsseur!
     
    Cher Jean Paul, tu me manques car toi tu respectais les différences religieuses et culturelles!
     
    Mon cher Polonais, tu n'étais pas plombier comme certaines rumeurs sur l'unification de l'Europe mais ton absence va manquer à cette religion qui se referme sur elle même au lieu de s'ouvrir sur le monde!
     
    Jean François LOUBET

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